Dans votre vie d’erasmus qu’est-ce qu’il vous manque le plus
Exclusivement la nourriture. Le manque de temps m’a fait envisager différentes manières de m’alimenter. Manger dans les cantines de l’Université ou préparer les repas dans la résidence, ou parfois cuisiner chez des amis.
Ce qui me manque le plus des repas habituels en Espagne, ce sont les ragoûts de mon père, les pommes de terre à la riojana et les fromages espagnols. En positif, j’ai découvert la pâtisserie portugaise et les « francesinhas », un sandwich typique du Portugal nappé d’une sauce piquante.
Quels sont vos prochains challenges ?
Terminer mes études et relever ensuite d’autres défis comme un grade supérieur en activités physico-sportives ou un cours d’animation touristique, ou directement la recherche d’un travail en rapport avec mes études.
Quel serait la devise de votre vie ?
Il y a une phrase d’une chanson de calamaro avec laquelle je m’identifie : « j’ai toujours suivi la même direction, c’elle qui est difficile, celle que suit le saumon ».
Racontez-nous une expérience qui vous a marqué !
l’erasmus s’avère une expérience inoubliable. il y a également une retraite de méditation que j’ai réalisée il y a quelques années à madrid. et le contact avec la mer quand je fais du surf. venir au portugal m’a permis de connaître nazaré, un lieu mythique où je me suis réellement fait peur en essayant de prendre des vagues.
Questions qui vous préoccupent ou au sujet desquelles vous êtes particulièrement sensibilisé
Le respect de l’environnement et la destruction des écosystèmes. et la société pour ce qui est de l’excès de consumérisme et le manque de justice sociale.
Comment vous alimentez-vous?
Malgré le manque de temps, j’essaie de manger de manière saine et variée. pendant cette dernière année, je me suis ouvert à goûter beaucoup de plats nouveaux et à de nouvelles gastronomies, surtout la cuisine orientale.
Vous aimez cuisiner?
Beaucoup, et encore plus maintenant. dans la mesure du possible, j’essaie d’aller au marché et de cuisiner, pour moi et pour les autres. j’aime innover dans des plats que je connais. mes spécialités sont les tacos, les pâtes et l’omelette aux pommes de terre.
Que faites-vous pour garder la forme et rester sain?
Manger équilibré, bien que je me concède pas mal de caprices. dernièrement, je m’initie à la callisthénie, en utilisant mon poids de corps.
Vous préoccupez-vous d’avoir une alimentation saine? Que faites-vous pour cela?
Oui. quand je ne cuisine pas, je mange à la cantine, car ils ont une cuisine très variée. quand on commande avec des amis des plats à emporter, on opte généralement pour du sushi ou de la cuisine chinoise.
Où faites-vous vos courses et quel type de produits recherchez-vous?
À Coimbra, je vais toujours au marché ou à la halle municipale, et pour ce que je n’y trouve pas, au supermarché.
Où achetez-vous les produits de Trevijano?
Quand je suis parti à coimbra j’ai emporté dans mon sac à dos quatre produits au cas où je ne les trouverais pas : des poivrons du piquillo, de la charcuterie, du risotto et du couscous de trevijano. par la suite, j’ai vu qu’il y avait des produits trevijano au supermarché, mais, malgré tout, quand je suis retourné en espagne j’ai de nouveau rempli mon sac à dos.
Qu’appréciez-vous des produits Trevijano
La facilité de préparation, le fait qu’ils sont sains et qu’ils sont très bons.
Quels sont vos produits préférés de Trevijano ?
Le risotto aux champignons, le couscous oriental et le couscous marocain.
